• Extrait du prochain roman: Au nom d'un habit de parents/Enfant du sacrifice

    Bonjour dimanche à toutes et à tous,
     
    Au nom d'un habit de parents, enfant du sacrifice est mon prochain roman; celui-ci est en cours d'écriture. Je pensais vous réserver quelques lignes de l'avant-propos que j'ai posé, il y a quelques temps.
     
    Un témoignage, un espoir que par le monde, l'humanité puisse vaincre le mal qui assaille tant d'hommes.
     
    .../...
    Au nom d’un habit de parent, prendre le contrôle d’une âme à naître pour lui construire un avenir ou pour la détruire, sans doute à jamais ou encore éprouver le besoin de contrôler une âme que la lumière ne peut atteindre car l’obscurité, la perversion de personnes nuisibles est là, pour l’empêcher et le destin sera marqué d’une empreinte sans doute indélébile.
     
    Ils ont tous commis un crime physique d’atteinte à la pudeur; ils ont commis un délit caractérisé d’incitation à la débauche, une forme de prostitution évidente en me vendant ! Mais, il y avait des précédents plus cruels. Ils n’avaient pas mauvaise conscience car le fruit venait, de là-bas… comme si de par le monde non occidental, on peut être violée, vendue, maltraitée parce que l’on est née et naît impure aux yeux des fous !
     
    Ce mode de pensées destructives est établi exclusivement par l’homme, certaines mères adoptent le déni qui peut aussi se poursuivre au travers du déni post natal. Combien de fois, n’ai-je entendu : « Laissons-là, on s’en fou ! c’est une étrangère… » mais, cela se marmonne entre leurs dents acérées, car ils ont leur honneur à défendre ; l’honneur derrière lequel, ils se cachent, se gloussent. Pourtant, je n’étais que le fruit de la providence, je ne pouvais pas être, la souche du mal ?
     
    C’est un crime psychique de faire peur à un enfant pour obtenir satisfaction en lui racontant des histoires d’antan effrayantes, des histoires truffées d’invraisemblances, de lui faire peur pour lui apprendre un non enseignement, pour foudroyer de peur sa petite innocence. L’agression provoque un état de choc quel que soit l’âge, alors, imaginez un instant, la peur, la frayeur, l’incapacité de se protéger, de fuir d’un enfant, aussi petit soit-il – il prend conscience qu’il est prisonnier du mal, mais il va vivre des années dans un labyrinthe dont il ne peut trouver la sortie qu’au regard de sa force, car la non-assistance à enfant en danger est bien présente…
    © Shantalh écrivain, scénariste.

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